Dernières nouvelles de la Terre
Nous n'avions pas pris de nouvelles de la Terre depuis bientôt deux ans. Il était temps de faire un bilan. Comme on peut le voir sur notre illustration, il y a apparemment peu de changement depuis notre dernier cliché, mais cela n'est qu'apparent. Sur cette image par satellite d'une précision extrême, à la limite de la résolution de la caméra à haute définition, on distingue comme jamais auparavant des détails éloquents (cliquez pour agrandir la vignette).
On voit nettement au nord-ouest de l'Afrique, le célèbre «pont de la liberté des peuples» qui devait relier le continent à l'Espagne et la France, mais qui est tristement parti à la dérive depuis la décolonisation et rouille désormais en pleine mer. Plus au sud, au niveau de l'équateur, à l'ouest et à l'est au large de l'Afrique, on voit maintenant clairement les deux énormes trous noirs dont certains prétendent qu'ils sont le fruit des expériences des accélérateurs de particules, mais dont il est plus probable qu'ils résultent d'un défaut d'entretien par les populations locales, notamment, à l'est, par le gouvernement des Seychelles, dont chacun sait qu'il affiche une idéologie nettement socialisante. Nous ne pouvons pas examiner ici toutes les dégradations, mais remarquons pour finir, au nord, la longue série des marques blanches ineffaçables qui maculent la Russie, avec, la plus à l'ouest, l'inoubliable tache de Tchernobyl.
On voit nettement au nord-ouest de l'Afrique, le célèbre «pont de la liberté des peuples» qui devait relier le continent à l'Espagne et la France, mais qui est tristement parti à la dérive depuis la décolonisation et rouille désormais en pleine mer. Plus au sud, au niveau de l'équateur, à l'ouest et à l'est au large de l'Afrique, on voit maintenant clairement les deux énormes trous noirs dont certains prétendent qu'ils sont le fruit des expériences des accélérateurs de particules, mais dont il est plus probable qu'ils résultent d'un défaut d'entretien par les populations locales, notamment, à l'est, par le gouvernement des Seychelles, dont chacun sait qu'il affiche une idéologie nettement socialisante. Nous ne pouvons pas examiner ici toutes les dégradations, mais remarquons pour finir, au nord, la longue série des marques blanches ineffaçables qui maculent la Russie, avec, la plus à l'ouest, l'inoubliable tache de Tchernobyl.
Mais nous terminerons cette revue par une remarque optimiste. Les autorités ont eu l'heureuse idée de placer un panneau indicateur afin que les touristes (et éventuels investisseurs) venus de l'espace la repèrent facilement sur le plan, la reconnaissent et ne la prennent plus pour une ordure. Comme on le voit les progrès de l'imagerie par satellite nous apportent tout de même, en cette fin d'année, une petite note d'espoir.
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