Crucifixus
Et voilà!
On ironise, on s'amuse de la religion, on blasphème.
Et un jour ça vous arrive. Un peu comme Gregor Samsa dans la Métamorphose de Franz Kafka. Un monstre hideux venu du fond des enfers vous empêche de sortir de chez vous, prêt à vous paralyser et vous faire fondre à l'acide pour vous boire à la paille, comme un jus de tomate.
Nettement dessinée sur son abdomen, une croix lumineuse vous rappelle douloureusement votre hérésie.
Hergé l'avait déjà prophétisé dans l'Étoile mystérieuse en 1942, l'épeire diadème n'annonce que des catastrophes, quelquefois des apocalypses. On peut heureusement s'en sortir. D'un coup de pantoufle bien ajusté.
2 commentaires :
On s'amuse mais faut dire que ça en fait des enfilades de jeux de mots en toile d'annonciatrice de pape appelé à régner.
"La reine niait", mais "la reine y est" pourtant, si diadème il y a.
Pourquoi pas dans le château de la "Reine Hi Yé"
(qu'un autre K japonais aurait pu nous conter).
Et aussi : Joseph k torturé dirait "Le chateau de l'Art est nié".
Samsa hurlerait : "l'art est niais !".
Mais pour finir "l'arrêt niais"
sans autre forme de procès
les bras en croix exécuté
au coeur sanglant de l'arène, yeah !
(etc...)
max
Palsembleu Monsieur Max, quel festival! J'en reste sans voix et la tignasse ébouriffée (la raie niée).
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