samedi 18 septembre 2010

La vie des cimetières (32)

Mais, où se trouve la frontière entre le bon goût et le mauvais goût ?
« Dans ton cul ! » répond tout le monde en chœur.
Nous voilà donc fixés.

Le cimetière monumental de Milan accueille des tripotées de tombeaux aussi légers, exquis et gracieux que celui-ci.

5 commentaires :

Tilia a dit…

Mauvais goût ? peut-être...
Mais pas si mauvais que celui-ci

Costar a dit…

C'est bien ce que je disais. Il n'y a aucun moyen de définir le mauvais goût. Votre exemple me semble bien anodin, comparé à celui-là par exemple , souvenez-vous. En vérité, le Cimetière Monumental de Milan pullule d'exemples encore plus délirants (de mon point de vue, évidemment), que je continuerai à présenter au fil de "La vie des cimetières".

Tilia a dit…

Si vous trouvez que ce couple, représentant l'âme ravie d'être entraînée au ciel par un ange, est de mauvais goût, alors je pense que vous n'aimez pas l'oeuvre de Louis Janmot "Le Poème de l'Âme".

Il me semble que nombre de statues de ce cimetière sont de la même époque que les peintures de Janmot...

"La vie des cimetières" est passionnante et je continuerai à la commenter !

Costar a dit…

Oui, c'est toute la magie de la communication. Je crois exprimer quelque chose tout au long de ce Glob, une manière de voir le monde, et la lectrice ou le lecteur y voient toute autre chose, quelquefois de très différent, voire d'opposé. Continuons donc ainsi.

Tilia a dit…

A propos de mauvais goût et de communication, que penser de ceci ?

Il a peut-être bon goût mais le responsable de sa communication a un goût de chiottes !