dimanche 22 mai 2011

Quelques globes


Le parvis couvert du théâtre Carlo Felice, l'opéra de Gênes, en Italie du nord. Au fond, la place De Ferrari et la statue équestre de Garibaldi.

Pendant ce temps-là, tout va bien de l'autre côté du globe. La centrale nucléaire de Fukushima tient ses promesses (1). Elle fuit comme un pneu fatigué. Le corium se répand. On envisage la solution extrême, l'ensevelissement des réacteurs sous un gigantesque sarcophage, ruineux comme à Tchernobyl, pour une éternité d'environ 50 ans, après quoi il sera nécessaire de le remplacer. Et ainsi de suite, pendant des millénaires.

1. Voir Marianne, Courrier International, Sciences et Avenir.

1 commentaire :

Tilia a dit…

Plusieurs globes pour l'Opéra, de quoi ne pas tomber dans le noir si l'un d'eux défaille. Mais pour les terriens, il n'y a pas de globe de secours. Au secours !

Le captcha me propose fort à propos "skinatur". Elle est bien mal en point, la peau de la nature :((