lundi 8 juillet 2024

Histoire sans paroles (52)


L’affaire de la crue de la Seine
Fin janvier 1910, en quelques jours, Paris s’est crue Venise. La préfecture de police envoyait alors les inspecteurs de l’identité judiciaire. Ils inspectèrent, prirent des mesures, réfléchirent. Le citoyenmarchant sur l’eauattendait un responsable.
Un siècle plus tard, le suspect court encore et menace toujours. Mais pas d’inquiétude, la science a progressé, elle connait le coupable et le surveille. Et en cas de récidive, elle est préparée, elle a inventé un nouveau mot : la résilience des populations.
 
Ci-dessous, Porte de la Gare, Paris 13ème, le 31 janvier 1910.

2 commentaires :

GJG a dit…

Il me semble qu’un petit maître nommé Nicolas Noé Moïse Coster Poussin a peint une telle inondation intitulée « le Déluge » ? Mais c’était sans doute un autre évènement légèrement antérieur…
Cela étant, comme disait mon assureur : « il faut attendre que ça sèche, après, on verra. ».

Costar a dit…

D'où diable connaissez-vous tous ces prénoms de notre petit Poussin ? Je n'ai trouvé que Nicolavs Povssinvs ou Nicola Poussini sur ses autoportraits et rien de plus dans les biographies.