Morbelli encore
En complément à la chronique du 11 février sur Angelo Morbelli, deux œuvres probablement toujours en collection privée, à Milan : La sedia vuota - la chaise vide (1903, huile sur toile), et Le Parche - les Parques (1904, pastel).
6 commentaires :
Divisionnisme et pointillisme, c'est bonnet blanc et blanc bonnet, non ?...
Le rouge de Morbelli, un peu de vie et de lumière dans ces univers clos, tristes, accablants.
Du rouge aussi, dans mon dernier billet. Et une question demeurée sans réponse satisfaisante, à laquelle je suis sure que le scaphandre, qui a fait voeu pour 2011 de gagner TOUS mes quiz peinture et assimilés, répondrait sans hésiter un seul instant...
Oui je n'ai pas compris la question.
Il se passe quelque chose dans ces tableaux d'Ingres. Un point commun, un point de dissemblance, un point formel ou stylistique ? Non plutôt un objet ou un personnage ? Ou une similitude avec un autre tableau, de lui ou d'un autre peintre ?
Quand la question est trop ouverte et qu'il faut chercher la question plutôt que la réponse, j'abandonne tout de suite. Ne m'en veuillez pas, je suis assez primitif.
Vous avez entièrement raison ma question était mal posée. En fait elle ne concerne que la version du musée d'Angers, qui réunit toutes les caractéristiques. Je vient de modifier mon billet pour le préciser.
En résumé : un lieu clos, un pupitre et un vase avec trois fleurettes, une jeune femme assise en train de lire, un jeune homme qui s'agenouille auprès d'elle...
En cherchant bien, j'ai trouvé deux articles plutôt sérieux confirmant mon impression et expliquant ce que j'avais remarqué sans comprendre le pourquoi de la chose.
J'ai prévu de révéler ce dont il s'agit. Je pense le faire au plus tard demain soir.
Ah désolé ! Ces associations ne me disent rien, ou plutôt me disent trop d'images pour pouvoir les discriminer en si peu de temps. Je regarderai la réponse avec intérêt.
Ce blog est une inspiration.
Il est bien écrit et diablement contagieux !
Merci !
L'Achigan
Merci.
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