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dimanche 13 septembre 2020

Situation stationnaire

Depuis 6 mois, les considérables restrictions de déplacement des humains sur la planète, et ainsi la diminution de 75% du tourisme mondial, ont nécessairement ravivé la croisière stationnaire, la promenade virtuelle sur internet. D'autant que le voyageur immobile dispose depuis quelques années d'une dimension supplémentaire, il peut voyager dans le temps.  

On en avait parlé ici-même, il y a longtemps, quand l'application de bureau, Google Earth, puis le site internet Google Maps, après avoir intégré à leur cartographie la fonction Street View (la terre vue depuis la rue), y avaient ajouté entre 2009 et 2014 la chronologie, les saisons, les années.

Pour les amateurs de vues par satellite, qui souhaitent par exemple s'extasier devant la croissance régulière dans le Xinjiang des camps de vacances pour Ouïgours et Kazakhs, où la seule chose à être exterminée, au dire du chef de camp M. Xi Jinping, c'est la mauvaise humeur, pour ces amateurs d'évolutions à grande échelle, les instantanés chronologiques ne sont plus disponibles que dans l'application Google Earth pour ordinateur, et n'ont pas été intégrés dans les versions pour mobile ou ou internet. Cherchez un bouton bleu en forme d'horloge coiffée d'une flèche verte. 

Quant à la fonction Street View, sur le site de Google Maps (vous savez, dans les outils, en faisant tomber le petit personnage jaune d'une altitude létale), une illustration étant plus évidente qu'une phrase alambiquée, voyez ci-dessous comment on voyage dans le temps, quand l'horloge apparait en haut à gauche (après quelques secondes), en déplaçant le curseur temporel et sélectionnant la vignette.
Ici, à Aberdeen, Google est passée 4 fois en 9 ans.

 
Et comme Ce Glob est Plat n'avait pas fait de tournée des cimetières « vus de la rue » depuis celle d'Angleterre et d'Écosse en 2014, vous découvrirez bientôt ici un tour des cimetières pittoresques d'Irlande.
 

lundi 15 janvier 2018

Histoire sans paroles (26)


Un jour d’octobre 2008, le passage du légendaire Don Quichotte accompagné de Sancho Panza était signalé exactement ici. Croisant la mairie de Marsillargues, il venait certainement de la rue Karl marx et disparaissait dans la rue Maximilien Robespierre, ou inversement, dans l’autre direction. Mais le souvenir est en train de s’effacer.

dimanche 1 novembre 2009

Un voyage dans le temps


Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville
Change plus vite hélas que le cœur d'un mortel).

Charles Baudelaire, Le cygne, dans Les fleurs du mal.

Ils ont raison, ceux qui croient Ce glob Est Plat soumis à la déesse Gougueule (Google chez les anglophones). Et tant que son esprit inventif sera au service du voyageur en robe de chambre, du navigateur au budget limité à son abonnement internet, alors ce Glob persistera dans la promotion de ses étonnantes créations.

Le cap Misène, dans le sud de l'Italie, près de Naples
(sa position dans Gougueule Eurf)

Glorifions donc aujourd'hui Gougueule Eurf (Google Earth) qui vient de mettre sa version 5 à disposition. En 2005, Gougueule Eurf était un logiciel de voyage virtuel sur le globe terrestre, un outil pour préparer des vacances lointaines ou les rêver seulement. Puis au fil des années, Gougueule a créé le relief, les monuments en trois dimensions, les rues et les façades des villes principales, les commerces, le fond des océans, la peinture au détail et les millions de photos prises par des touristes. La terre devenait alors un vraie Terre, avec des gens dessus. Enfin, accélérant son expansion territoriale, Gougueule créait le ciel nocturne et l'astronomie qui va avec, et dernièrement la Lune, et la planète Mars. On peut en explorer la surface et l'histoire. Bientôt, il n'y aura plus un endroit dans l'univers où la main assoiffée de Gougueule n'aura posé le pied.

Or, avec sa version 5, Gougueule nous fait franchir l'ultime frontière, celle qui est réservée aux divinités, la limite du présent, justifiant ainsi le culte que lui vouent certains. Désormais, au moyen d'un habile curseur temporel activé par l'appui sur l'icône d'un cadran d'horloge (voir l'illustration), le voyageur peut dévoiler ou masquer les différentes prises de vue d'un même endroit, et voir surgir ou s'évanouir, en couches chronologiques, les maisons, les routes, les saisons.

Ainsi vous pourrez maintenant, preuves à l'appui, dénoncer un voisin qui a dilaté son habitation sans en informer le fisc, admirer la science des cultures soviétiques et le rapide anéantissement de la mer d'Aral et des populations voisines, empoisonnées, trembler à la dégradation du patrimoine de l'Humanité, à Babylone, en Irak, par les armées américaines, montrer à vos petits-enfants qu'il y avait une forêt en Amazonie...
On le voit, cette simple évolution de Gougueule Eurf abonde en nouvelles applications pratiques et en promesses de divertissement.

Comme la géologie ou l'archéologie, la nouvelle version
de Gougueule Eurf dévoile des strates de temps
.

Et puis il était temps que l'homme constate par lui-même, bière à la main, pantoufles aux pieds, l'inexorable détérioration de sa planète, la seule à sa disposition, et l'allongement démesuré de l'ombre de la tour de Doubaï, où il discernera, sans aucun doute, les signes de la vanité humaine.

mercredi 18 mars 2009

Recrudescence de trous blancs

Et voilà, ils ont fait l'expérience ! Comme dans les mauvais films de science-fiction. Pire que les trous noirs du LHC, il y a maintenant les trous blancs du ministère de la Défense.
Prenons l'exemple emblématique de Taverny (mais il y en a d'autres que nous vous invitons à rechercher). D'après l'encyclopédie Wikipedia, il y a dans la forêt de Montmorency, à Taverny, le cœur du système de défense nationale français, dont les installations seraient en cours de démantèlement.

On peut effectivement constater sur l'illustration jointe, issue des pages jaunes, qu'il s'agit d'une liquidation totale, voire mieux. Le plus troublant est le désaccord des cartographes. Pour Google Maps, sur la photo par satellite datée du 21 octobre 2007 (1), les installations militaires semblent au complet, alors que la photo vide des pages jaunes date de 2005. Qui croire ? La rumeur qui prétend que presque tous les articles de Wikipedia sont écrits par le porte parole du gouvernement serait-elle fondée ? Et la végétation n'est-elle pas un peu trop verte et pimpante sur la photo de Google Maps (2) prétendument prise à la fin de l'automne ?

Qui dira les expériences de chimie monstrueuses qui se perpètrent actuellement à notre porte et répandent ces trous blancs, annihilant des hectares du territoire français sous le couvert de la défense de l'État et dans l'indifférence des médias ? Imaginez que cette infection se propage un jour jusqu'aux cabinets des plus hautes instances de notre pays... Où irait alors la France ? Que deviendrions-nous ?

***
(1) En réalité elle n'est pas datée sur Google Maps mais la même photo exactement est datée sur Google Earth.
(2) Pour des motifs déontologiques et éviter les accusations d'espionnage, voire de haute trahison, Ce Glob Est Plat contrevient à sa règle sacrée «La vérité sinon rien» et ne montrera pas cette image sulfureuse.

samedi 24 janvier 2009

Les délices au microscope

Comme tout le monde vous n'habitez pas Madrid ni ses alentours. Comme tout le monde vous avez, un jour d'été, poireauté sous le soleil espagnol de midi, pour réaliser, après deux heures d'attente sans l'ombre d'une ombre, votre ticket d'entrée au musée du Prado en main, qu'il vous restait peu de temps pour admirer tous ces tableaux de Velazquez, Goya, Greco dont vous rêviez depuis si longtemps. Comme tout le monde, quand vous êtes arrivés devant le «Jardin des délices», l'immense collage surréaliste de Jérôme Bosch, vous avez réalisé qu'il était inutile de vouloir le voir en entier tant il y avait de monde devant.

Alors, comme tout le monde, désabusé, vous avez grappillé quelques détails furtifs, aperçus entre deux touristes japonais, au moment où les gardiens annonçaient déjà l'heure de fermeture du musée. Comme tout le monde vous ne reviendrez peut-être jamais à Madrid.



Les années ont passé. Vous vous êtes récemment consolés en constatant que le musée mettait progressivement en ligne sur son site de splendides reproductions détaillées. Vous pouviez alors scruter (1) les personnages ironiques et macabres du «Triomphe de la mort» de Brueghel l'ancien ou les paysages idylliques de Patenier.

Et puis voici quelques jours, Gougueule (encore Elle) annonçait que tout le monde pouvait désormais découvrir les détails les plus microscopiques de certains chefs-d'œuvre du Prado et examiner le «Jardin des délices» comme seul Jérôme Bosch ou quelques experts couverts de laissez-passer ont pu le voir. Et c'est indescriptible (2). Il suffit de lancer Google Earth (3).


Mise à jour du 2 février 2016 : les calomniateurs d'internet n'ont pas tort. Planter des repères, créer des liens vers d'autres sites est inutile, penser qu'une ressource sera disponible plus d'une ou deux années est illusoire. Gougueule s'est probablement fâchée avec le Prado car la gigantesque reproduction du Jardin des délices a maintenant disparu de Google Earth, et avec elle les autres tableaux du Prado. Le musée s'est également volatilisé du site culturel de Gougueule (Google Art Project). Les choses se présentent mal pour les amateurs de Bosch à distance.

Mise à jour du 13 février 2016 : c'est un vrai coup de théâtre, le Jardin des délices est réapparu aujourd'hui. C'est l'image en extrêmement haute résolution photographiée par Gougueule en 2009, pourvue d'une ergonomie idéale. Le voyage peut reprendre dans l'univers de Bosch.


***
(1) Cliquez sur la reproduction du tableau, puis à nouveau sur la reproduction suivante. Une fenêtre apparaît alors avec l'image en haute définition.
(2) Les 4 illustrations de cette chronique sont extraites du Jardin des délices. Les droits de reproduction sont détenus par Jérôme Bosch et Google, inévitablement.
(3) Cherchez «Madrid Prado» (ou ouvrez ces coordonnées) avec Google Earth. Assurez-vous que l'option «bâtiments 3D», dans l'onglet «Infos pratiques», à gauche de l'écran, est bien cochée. À l'emplacement du Prado, cliquez sur l'étiquette blanche «Museo nacional del Prado», choisissez un tableau et abusez de la mollette de votre souris.

***
Pour les oreilles : Tyranny and Mutation de Blue Öyster Cult, un rock limpide, carré, irréprochable, des phrases de guitare mémorables. Écoutez par exemple «Mistress of the salmon salt».

mardi 30 décembre 2008

Dernières nouvelles de la Terre

Nous n'avions pas pris de nouvelles de la Terre depuis bientôt deux ans. Il était temps de faire un bilan. Comme on peut le voir sur notre illustration, il y a apparemment peu de changement depuis notre dernier cliché, mais cela n'est qu'apparent. Sur cette image par satellite d'une précision extrême, à la limite de la résolution de la caméra à haute définition, on distingue comme jamais auparavant des détails éloquents (cliquez pour agrandir la vignette).

On voit nettement au nord-ouest de l'Afrique, le célèbre «pont de la liberté des peuples» qui devait relier le continent à l'Espagne et la France, mais qui est tristement parti à la dérive depuis la décolonisation et rouille désormais en pleine mer. Plus au sud, au niveau de l'équateur, à l'ouest et à l'est au large de l'Afrique, on voit maintenant clairement les deux énormes trous noirs dont certains prétendent qu'ils sont le fruit des expériences des accélérateurs de particules, mais dont il est plus probable qu'ils résultent d'un défaut d'entretien par les populations locales, notamment, à l'est, par le gouvernement des Seychelles, dont chacun sait qu'il affiche une idéologie nettement socialisante. Nous ne pouvons pas examiner ici toutes les dégradations, mais remarquons pour finir, au nord, la longue série des marques blanches ineffaçables qui maculent la Russie, avec, la plus à l'ouest, l'inoubliable tache de Tchernobyl.

Mais nous terminerons cette revue par une remarque optimiste. Les autorités ont eu l'heureuse idée de placer un panneau indicateur afin que les touristes (et éventuels investisseurs) venus de l'espace la repèrent facilement sur le plan, la reconnaissent et ne la prennent plus pour une ordure. Comme on le voit les progrès de l'imagerie par satellite nous apportent tout de même, en cette fin d'année, une petite note d'espoir.

dimanche 26 octobre 2008

La vie des cimetières (15)

Les banalités qu'on raconte depuis des siècles sur la brièveté de la vie sont incontestables. Le poète Ronsard en abusait. Il aimait particulièrement les jeunes filles, et ne cessait de les effrayer, quand elles se refusaient, en leur chantant leur prochaine flétrissure, comme celle des roses.

Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain : Cueillez dés aujourd'huy les roses de la vie.Milan, cimetière Monumental, Secteur C, Est

Rappel : si, dans une chronique de ce blog, vous remarquez dans la liste des mots clefs le terme «coordonnées», cela indique que quelque part dans le texte (généralement sous une photo) se trouve un lien vers un fichier dont le nom termine par «.kmz». Quand vous cliquez sur ce lien, votre navigateur vous propose d'ouvrir ce fichier avec Google Earth (il faut au préalable avoir installé Google Earth qui est gratuit). Et la magie commence alors. Vous voyez la terre s'approcher à une vitesse vertigineuse jusqu'à quelques mètres au dessus du sol où vous découvrez l'endroit exact de la prise de vue, à quelques centimètres près.

mardi 8 avril 2008

Trois clichés de Florence

Localisations : Place de la république, l'Arno, vitrine dans une ruelle
(Pour le visiteur qui arriverait directement de la planète Gluon sans escale nous rappelons que les fichiers proposés par les liens ci-dessus, dont le nom termine par ".kmz", seront décodés sans aucune hésitation par Gougueule Eurf, également connu sous le nom de Google Earth.)

dimanche 4 novembre 2007

Nous ne sommes pas seuls

Gougueule a d'abord créé l'univers. Après quoi Gougueule a créé le ciel et la terre. C'est maintenant un fait établi et que personne ne songe à contester, sauf peut être Bill Gates dont la mégalomanie est bien attestée. Depuis ce jour, chacun sait exactement où il se trouve sur le globe terrestre, et si le voisin n'a pas déplacé discrètement les limites de son terrain.
Mais le point de vue surélevé de Gougueule Eurf avait quelque chose de frustrant, d'encore un peu théorique, de géographique, qui ne satisfaisait pas un impérieux besoin de réalité. Alors Gougueule créa Panoramio le 3 octobre 2005 de notre ère. Chacun peut y publier en quelques clics les photos de ses lieux préférés. Aujourd'hui Panoramio présente 5 millions d'images du monde, photographiées par 1 million de contributeurs. 2 des 5 millions sont déjà visibles sur Gougueule Eurf (mais la navigation est beaucoup plus agréable sur Panoramio).

  Celui qui en 1997, envoûté par les énigmes de Riven, deuxième volet du jeu Myst (créé par Cyan world & UbiSoft), s'est perdu pendant des heures à chercher une issue sur ces plages de sable éblouissant, pouvait-il imaginer que ces rochers pachydermes dessinés par ordinateur existaient dans la réalité?

Philippe Tremblay les a photographiés récemment, à La Digue, aux îles Seychelles. Ses photos sont dans Panoramio, particulièrement belles, comme des épures. Panoramio a résolu un problème philosophique vieux de plusieurs millénaires. Il apporte enfin la preuve que le monde existe aussi pour les autres, donc qu'il existe probablement réellement. Foin des «sophisteries» idéalistes! Un peu de matérialisme ne peut qu'apaiser un monde où prolifèrent lubies variées et croyances décervelées. Un esprit critique objectera qu'en matière de données informatiques toutes les simulations sont possibles et que rien ne prouve leur véracité. Que cet esprit visite alors Panoramio dans des lieux qu'il connaît bien! Il réalisera non seulement que les autres voient son monde à peu près comme lui, ce qui le désespérera sans doute, mais qu'il leur arrive parfois de réussir les photos qu'il a lui-même ratées. Ce qui est très désagréable au vaniteux. Alors toi aussi, lecteur, publie tes plus belles photos dans Panoramio, prouve que tu existes! Un jour peut-être, en préparant un voyage, l'une d'elles me donnera envie de faire une halte au même endroit.

mercredi 31 janvier 2007

Une révision s'impose

Voilà déjà un mois, nous ouvrions une délicate enquête sur la face cachée d'Arsinoë, splendide statue antique exposée au Grand palais (et pour un mois encore). Devant l'indifférence générale soulevée par cette investigation et le piétinement corrélatif de l'enquête, la rédaction de Ce Glob Est Plat a décidé de sensibiliser le public à la question des faces cachées des statues en général, sous la forme d'une petite révision des principes.
Nous commencerons par le parc de Saint Cloud, véritable eldorado pour les écoliers fervents d'anatomies.

  Le charmant modèle des illustrations, très obligeant, dévoile sans ambiguïté l'objet de notre étude. On remarquera immédiatement que ce qui importe dans les faces cachées des statues, c'est leur rotondité.
Ne connaissant pas l'identité de cette jeune dame, nous lui donnerons le joli sobriquet de 48°50'13.63"N & 02°12'51.00"E, qui ne correspond pas à ses mensurations mais à ses coordonnées géographiques dans le parc.

  Souhaitons que cette révision aura suscité quelques réactions parmi les spectateurs de Ce Glog Est Plat, les incitant à nous aider dans le dévoilement du mystère d'Arsinoë. Dans le cas contraire, le parc de Saint Cloud regorge d'exemples intéressants que nous n'hésiterons pas à invoquer dans des leçons à venir.

mardi 23 janvier 2007

Le repaire de Cthulhu

Une des missions que s'est assignées Ce Glob Est Plat est d'aller, au mépris du danger, dans les endroits les plus incertains de la planète, pour dénoncer les phénomènes qui tentent de troubler notre belle réalité. Aujourd'hui, c'est le repaire de Cthulhu, avenue Georges 5, à Paris.

 

On ne doit pas décrire Cthulhu. C'est LA CHOSE. Elle prend la forme de ce qu'elle engloutit. Personne ne sait où elle se cache. Mais parfois, un petit embarras digestif rend sa métamorphose imparfaite. C'est un de ces rares instants que notre chroniqueur a immortalisé dans l'illustration ci-dessus. Il fallait toute sa clairvoyance pour identifier Cthulhu dans cette banale façade molle, qui avait déjà mystifié plus d'un investigateur. Gageons que les pharmacies proches, rue Charron ou avenue des Champs Élysées, sauront remédier à ce souci gastrique et que nous retrouverons bientôt la rationalité de notre bel environnement urbain. Pour les amateurs de frissons, en voici les coordonnées terrestres:

samedi 20 janvier 2007

Gougueule Eurf

Les écologistes sont très en dessous de la vérité. La Terre est dans un triste état. Si près des poubelles, elle pourrait bien être un jour ramassée par erreur.
Reconnaissons qu'il y a du travail pour qui voudrait la recueillir, et la rafistoler un peu. Voici son adresse en coordonnées géographiques:
Ci-contre, l'afrique orientale, berceau de l'humanité. On ne lui a manifestement pas souvent changé ses couches.